Séoul.

Il vous suffira de spécifier le nom de votre hôtel au guichet pour que l’on vous oriente vers le bus qui dessert votre hôtel. Capitale de la Corée, Séoul est une ville d’environ 11 millions d’habitants où cultures ancestrale et contemporaine cohabitent. Résolument tournée vers l’avenir, Séoul vous fascinera par son côté trépidant et ses rues grouillantes d’activités en perpétuelle effervescence. Les tours et buildings modernes côtoient d’innombrables vestiges du passé tels que des palais royaux préservés dans des écrins de verdure. Vous apprécierez ses musées et ses quartiers pittoresques qui abritent des boutiques et maisons traditionnelles. Une ville entourée de montagnes et de forêts, dont les paysages et héritages culturels ne manqueront pas de vous séduire pour peu que vous lui consacriez un peu de temps !

Palais Changdeokgung

Vieux de plus de six siècles, cet ensemble de bâtiments royaux fut construit par Taejong, lors de la cinquième année de son règne. Pendant longtemps, il servit de résidence principale aux souverains de la dynastie Joseon. Pourvu de somptueux jardins, il découvre de magnifiques perspectives sur ses pavillons et sur les étangs alentours. Particulièrement bien conservé, il est aujourd'hui classé au patrimoine mondial de l'Unesco.

temple de Jogyesa

Encore au beau milieu de la ville, ce temple est un des édifices religieux les plus importants de Corée. Voué au Bouddhisme zen, il est cerné de forêts composées d'arbres majestueux et dont certains culminent à 26 mètres de hauteur et affichent 500 années de vie. Au sein du bâtiment, se dresse une monumentale statue du Bouddha Sakyamuni tandis qu'aux alentours, une pagode montée de 7 étages renferme certaines de ses reliques.

La Tour de Séoul

Bâtie au sommet du mont Namsan qui culmine à 243 mètres, elle s'élève elle-même jusqu'à 236 mètres et proposent un admirable point de vue sur les environs. Si elle n'est plus la plus grande tour d'Asie, elle reste un haut lieu du tourisme régional et, plus qu'un simple observatoire, se pose aujourd'hui comme un lieu dédié à la culture quelle que soit la forme sous laquelle elle se manifeste.

village folklorique de Namsangol Hanok

Le site s'étend sur près de 8 km² et vise à recréer une atmosphère et un cadre conformes à la tradition coréenne. Pour ce faire, il se découpe en trois parties. L'une est consacrée aux jardins. On s'y promène avec agrément. Une autre retient enterrés depuis l'an 2000 près de 600 objets qui composaient alors le quotidien des Coréens : c'est la capsule du temps. Il est prévu de l'ouvrir en 2394 alors que la ville de Séoul aura atteint un millénaire d'existence. La troisième et dernière partie du site est formée de la Korea House, un lieu voué à l'expression de la culture nationale : des représentations y sont données et il est possible de s'y attabler afin de déguster les plats de la gastronomie locale.

visiter le marché de Namdaemun

L'endroit est sans cesse actif. Sur les trottoirs, se dressent des étals et des boutiques dans lesquels faire de délicieuses emplettes. Les petites allées qui forment le quartier lui donnent une allure pittoresque et c'est avec plaisir que le voyageurs s'en va à la recherche de vêtements traditionnels, de denrées du cru et de décorations de table typiques.

Suwon.

Proche de la capitale sud-coréenne, la ville regorge de curiosités touristiques telles que sa forteresse et ses jardins et dispose d'un centre-ville au milieu duquel il fait bon se promener.

La forteresse de Hwaseong

C'est au XVIIIe siècle qu'elle fut bâtie, sous l'ordre de l'empereur Chonjo, l'un des plus grands souverains de la maison Choson. Expression d'amour filial et d'orgueil dynastique, la forteresse est associée à un ensemble d'ouvrages défensifs et visait à préserver le tombeau du père de l'empereur. Sur les conseils d'un architecte militaire, Chongjo fit entouré le sépulcre de 6 kilomètres de remparts : portes monumentales, bastions et tours d'artillerie complétaient l'édifice et constituaient l'un des exemples de fortification de l'est asiatique. Aujourd'hui sans plus d'objet militaire, la forteresse est inscrite au Patrimoine de l'Humanité.

village coréen typique.

Ce site folklorique s'attache en fait à reproduire la vie quotidienne des villages d'autrefois. Des maréchaux-ferrants y battent encore le fer, tandis que, selon des méthodes ancestrales, des artisans travaillent à la confection de céramique et que des tisserands brodent le tissu. Le village est formé de près de 270 maisons au milieu desquelles se tient un théâtre qui donne des représentations inspirées de l'art traditionnel coréen.

allez vous imprégner d'un peu de l'esprit du pays.

Fourmillant d'activités, elles regorgent d'échoppes, de boutiques traditionnelles et de restaurants dans lesquels initier ses papilles à la gastronomie locale.

parc national de Songnisan,

Ce parc national mythique est un joyau brut qui ravira les amoureux de la nature et des panoramas. Il représente une étape de marque de tout voyage en Corée. Sous l’œil bienveillant du Mont Songsi (1 058 mètres), vous parvenez au vénérable temple Beopjusa. Symbole bouddhiste fort de 1 500 ans d'histoire, vous apprendrez que ce temple n'abritait jadis pas moins de 3 000 moines, ce qui révèle son rayonnement considérable. À l'intérieur du temple se dresse la statue majestueuse en bronze doré du Bouddha Maitreya, la plus grande de l'Asie du Nord-Est du haut de ses 33 mètres. Aux alentours, le cadre idyllique du parc se prête à merveille aux balades, selon votre envie.

Andong

Les nombreux stupas qui se dressent dans la région attestent de cette intense activité religieuse. Le patrimoine temporel de la ville n'est pas en reste et, il subsiste encore de la période Joséon, d'anciennes écoles confucéennes ainsi que de nombreux villages traditionnels.

Hahoe,

Ce village vit encore au rythme des traditions ancestrales qu'il travaille à préserver et à présenter aux voyageurs. Bâti aux pieds de la montagne, cerné par les eaux vives d'un ruisseau, tout simplement authentique, il fait bon s'y promener et s'imprégner d'un peu de culture locale.

Gyeongsangbuk-do

des écoles confucéennes où s'enseignaient les préceptes du célèbre philosophe. Des érudits y dispensaient leurs savoirs à des enfants qui le recevaient, en restant debout, sans table ni chaise où s'asseoir. Ces établissements apparurent au XVe siècle et constituèrent, jusqu'à leur fermeture en 1871, le principal réseau d'enseignement dans les campagnes.

Dosan-dong Seowon

Fondée à la fin du XVIe siècle, l'école est un chef-d'œuvre d'architecture. Tout est pensé pour l'accueil des enseignants et des apprentis : le complexe est ainsi pourvu de dortoirs, de salles de classe, de sanctuaires, de jardins et de cours intérieures. Au terme du cursus, un examen et un diplôme sanctionnaient ces années d'étude et ouvraient les portes de la fonction publique, la plus prestigieuse des carrières à l'époque Joséon.

village des artistes Jirye

Le village de Jirye a été fondé en 1988. Il est consacré à l'art et aux artistes. Ces derniers peuvent laisser libre cours à leur génie et profiter d'un cadre magnifique et inspirant. Une dizaine de fois l'an, s'y tiennent les Jesa, des cérémonies vouées à la célébration des ancêtres.

Gyeongju.

C'est l'un des plus beaux sites de Corée, une sorte de musée de plein-air. Pendant près de 1 000 ans la ville servit de capitale au royaume de Silla. En 674, la Corée s'unifiait sous sa férule et connaissait son âge d'or. Gyeongju était alors une ville fastueuse, active et brillante : l'aristocratie s'y rassemblait et y faisait bâtir des palais ; les marchés pullulaient et des temples dressaient leurs façades au milieu des rues. Peu à peu, la ville devait perdre de sa superbe et, au Xe siècle, le site est définitivement abandonné. Le temps des grandeurs est révolu : sur place, les paysans locaux plantent le riz au milieu des stupas et des vestiges de l'ancienne capitale royale. Il faut attendre le XXe siècle pour que Gyeongju retrouve un peu de sa splendeur. Des fouilles y sont menées qui révèlent ses trésors et qui font de la ville l'une des attractions touristiques et culturelles du pays.

Le musée national de Gyeongju.

Dans les murs de cette institution, sont conservés, exposés et étudiés les objets et les documents appartenant à la grande époque de la ville. Des couronnes d'or, des objets liturgiques, toutes sortes de sculptures ou de céramiques peuvent y être observés. Mais la plus célèbre pièce du musée, c'est la cloche dite "Emille", une masse de bronze pesant près de 20 tonnes et mesurant 3 mètres.

Le Parc des Tumuli.

L'endroit est une nécropole. Les tombeaux de 23 souverains s'y dressent et forment de petits monticules au milieu et dans desquels le voyageur se promène, mélancolique .

L’étang Anapji.

Le site servait de palais d'été. Le royaume de Silla y célébrait ses fêtes et ses réjouissances. La place est aujourd'hui abandonnée, moins active mais plus sereine. Il n'y reste plus que l'étang artificiel qu'avait fait creusé le roi Munmu à des fins commémoratives : la Corée venait d'être unifiée et l'étang devait incarner ce succès politique et militaire. En 935, un incendie se déclarait et détruisait le complexe. Nombre d'objets glissèrent dans le plan d'eau pour n'être retrouvés que 1 000 ans plus tard, en 1975, alors que l'étant était asséché. Aujourd'hui, ces trouvailles sont exposées au musée national de Gyeongju.

L’observatoire astronomique Cheomseongdae.

Il témoigne de l'intérêt qu'avaient les souverains coréens pour les choses de la science. La tour fut bâtie au VIIe siècle, alors que régnait la reine Seondeok. Elle constitue le premier observatoire astronomique à avoir été fondé. Pleine de symboles, elle est construite sur une base carrée qui évoque le cycle des saisons et le passage des ans tandis que cette base est elle-même constituée de 12 pierres qui font échos aux 12 mois de l'année.

Le temple Bulguksa.

Les premières pierres de cet édifice ont été posées au VIe siècle de notre ère. En 774, le temple est reconstruit et profite du génie architectural des bâtisseurs coréens de l'époque : des ponts de pierre, deux pagodes et des escaliers monumentaux agrémentent le site et le remplissent de dignité.
Pour s'y rendre, le plus simple est de rejoindre la gare de Gyeonhju et de monter à bord d'un bus de la ligne 10 ou 11.

La grotte de Seokguram.

À quelques minutes du temple, elle creuse les pentes du mont T'oham. C'est au VIIIe siècle qu'elle fut aménagée. Les Coréens la pourvurent alors d'une immense statue de Bouddha. Tournée vers la mer, entourée d'autres divinités et parée de hauts-reliefs, cette sculpture monumentale est un chef-d'œuvre d'art spirituel asiatique.
Le bus de la ligne 12 permet de s'y rendre.

village traditionnel de Gyeongju

Regroupant d'anciennes activités artisanales, il permet de découvrir quelques-uns des objets dont les Coréens usaient au quotidien.
Là encore, le plus simple pour rejoindre le village est d'emprunter un bus de la ligne 10 ou 11.

Busan.

Après Séoul, il s'agit de la plus grande ville du pays. Contemporaine, dotée d'un port très actif, elle ouvre sur les îles japonaises. Dynamique, profitant d'un cadre favorable mêlant plages et espaces verts, Busan est une métropole dans laquelle il est agréable de séjourner.

Le parc de Taejongdae.

Au sud-ouest de la ville, il est entouré de relief et de végétation. Petit îlot de verdure au cœur même de Busan, il est facilement accessible puisque, pour s'y rendre, il suffit d'emprunter un des nombreux bus qui sillonnent la ville.

Le marché aux poissons Jagalchi.

L'air est ici moins vivifiant mais le site mérite le détour. Le marché aux poissons de Jagalchi est le plus fameux de Corée. Plus qu'un simple lieu de vente, il est une véritable institution, quelque chose que chaque visiteur doit avoir vu pour pleinement se pénétrer de culture coréenne. Allez-y au petit matin, alors que sont débarqués les poissons fraîchement péchés de la nuit. Les marchands les rassemblent sur leurs étals et se livrent à l'exercice de la vente à la criée. Ne manquez pas ce spectacle. Pour rejoindre le marché, empruntez la ligne 1 du métro et descendez à la station dédiée.

Les plages.

Busan fait également office de station balnéaire. Ses plages sont parmi les plus réputées de Corée. Elles profitent de structures appropriées qui les rendent pratiques en même temps qu'agréables. Vous aurez ainsi plaisir à vous délasser sur l'esplanade qui borde la plage de Gwangalli. Des restaurants permettent de s'attabler et de se repaître de spécialités locales. La vue n'est pas en reste qui ouvre sur les étendues de sable fin et les perspectives infinies de la Mer du Japon. Un peu plus tard dans la soirée, les bars ouvrent leurs portes et permettent de s'amuser tout au long de la nuit. Pour se rendre dans ces quartiers, empruntez les bus ou le métro.

Fukuoka.

Le port de Busan est aisément accessible. Pour vous y rendre, empruntez le métro et descendez à la station de Jungangdong, sortie n°12. Le quai d'embarquement des ferrys internationaux se trouve à proximité.
Veillez à arriver avec un peu d'avance. Deux heures sont nécessaires à l'accomplissement de toutes les formalités administratives. Il est ainsi impératif de remplir une carte signifiant votre départ de Corée en direction du Japon. De même, si vous êtes en détention d'objets de valeur (bijoux, montres, ordinateurs...), vous devrez les déclarer à la douane .

île de Kyushu, la plus méridionale du Japon.

Sur place, vous découvrez une culture bien différente de celles en cours sur le continent.

tristement célèbre Hiroshima.

Allez vous recueillir au parc du mémorial de la paix, édifié sur le site de l'ancien office de la promotion industrielle. C'est à cet endroit exact que s'est abattue la bombe avant que le feu nucléaire ne se répande dans toute la ville. Ensuite, visitez le musée du souvenir et de la paix, bâti par un célèbre architecte et qui tâche de commémorer l'événement le plus tragique de l'histoire japonaise.

l'île de Miyajima. Le trajet dure une dizaine de minutes.

Site classé à l'Unesco pour sa beauté et sa singularité, c'est le célèbre Torii flottant qui vous attend pour cette excursion. Ce petit monument se situe sur la magnifique île de Miyajima et est relié au sublime sanctuaire vermillon Itsukushima, monté sur piloris. Cette île unique en son genre abrite une multitude d'autres surprises : profitez d'une nature verte et luxuriante en parcourant les nombreux sentiers de forêts jusqu'aux petits cours d'eau qui parsèment l'île, bénéficiez d'un panorama sans égal depuis le Mont Misen auquel vous accédez grâce à un téléphérique et déconnectez-vous du quotidien en respirant l'air frais qui emplit vos poumons !

visite des temples de Kyoto

En premier lieu, le célèbre Kinkaku-ji. Également appelé Pavillon d’or au vu des fines feuilles d'or pur qui recouvrent ses parois, il trône parfaitement intégré dans son environnement dans la plus pure tradition zen. Tout proche, vous trouverez le temple Ryoan-ji et son célèbre jardin propice à la méditation. Plus loin dans votre promenade, apparaissent une petite pagode et un palais serti de verdure : c'est le temple Ninna-ji.

palais Nijo

À l’intérieur du palais Nijo, vous pourrez assister à une cérémonie du thé, une cérémonie très codifiée par laquelle se transmet l'âme du Japon.

ville de Nara,

, ancienne capitale du pays, qui vous dévoilera nombreux de ses trésors inscrits au patrimoine mondial de l'Unesco. (Comptez 30 minutes de train depuis Kyoto).
Vous profiterez d'un détour au cœur du magnifique parc de Nara, pour découvrir des temples millénaires également inscrits au patrimoine mondial de l’Unesco. Parmi ces édifices antiques, vous percerez les mystères du temple le plus impressionnant de par sa structure, le Todai-ji, et pourrez vous ravir devant le sanctuaire rouge Kasuga Taiga, célèbre pour ses innombrables lanternes.

ville est couverte de temples, de sanctuaires

Dans le centre, se dressent les façades du sanctuaire Heian. L'entrée est frappée d'un gigantesque Torii de couleur rouge. Les jardins qui entourent l'édifice ne manquent pas non plus d'agréments et figurent parmi les plus beaux de Kyoto.

Kyoto Handicraft center

Des estampes qui expriment la sensibilité des Japonais aux arts y sont mises en vente et font de très beaux souvenirs. Des kimonos traditionnels peuvent également être achetés. Quant au centre-ville, il est pourvu de nombreuses boutiques toutes mieux achalandées les unes que les autres.

quartier d’Arayashima.

La forêt de Sagano forme elle aussi un agréable terrain de randonnée. Le temple de Tenryû-ji s'élève au milieu des arbres où il sert à la célébration de la spiritualité Zen. C'est l'un des plus grands et des plus beaux du Japon. Son jardin se distingue également qui reproduit une cascade sèche de rochers.

promenade de la philosophie

Le long d'un canal bordé de fleurs et de cerisiers, vous découvrez la nature environnante et profitez de son calme apaisant. Sur le chemin, arrêtez-vous au café "Pomme" inspiré des célèbres établissements parisiens et dégustez une de ses délicieuses spécialités.

Mont Koya.

Inscrit au patrimoine mondial de l'humanité, le mont culmine à 900 mètres d'altitude. Se dressant au milieu des collines avoisinantes, il accueillit au VIIIe siècle de notre ère, la première communauté religieuse du Japon. Depuis la fondation du bonze Kukaï, de nombreux autres temples ont été bâtis dans la région et le site en compte aujourd'hui plus de 110.

Les temples Kondo et Kongobuji

Aux alentours, découvrez le cimetière Okuno-in, un lieux voué aux souvenirs des ancêtres. Sur ces terres, sont rassemblées près de 200 000 tombes. Des samouraïs, de grands administrateurs et de saints hommes reposent dans ces sépulcres séculaires.

shukubo.

Cette nuit est une expérience bien singulière. Vous dormez dans les mêmes conditions que les moines, presque à même le sol, sur un tatami et un futon.

Tokyo,

Débutez votre visite en vous rendant dans le quartier Shinjuku . Là, vous pourrez aller dans le bâtiment de la mairie de Tokyo et en escalader les 45 étages pour profiter d'un imprenable point de vue sur la ville des alentours ainsi que sur le Mont Fuji .

parc Yoyogi,

L'endroit est une oasis de quiétude, au cœur même de la trépidante capitale japonaise. Le sanctuaire Meiji Jingu y dresse ses façades transférant au parc un peu de son aura spirituelle.

l’avenue Omotesando,

Sur cette artère, de nombreuses boutiques ouvrent leurs portes aux amateurs de shopping.

fameux quartier de Shibuya,

particulièrement réputé pour son carrefour, le plus grand de la planète autour duquel clignotent néons et écrans géants. Pourquoi ensuite ne pas s'attabler dans l'un des nombreux restaurants des environs afin de déguster les spécialités locales ?

Nikko.

Petite en taille, Nikko est un haut lieu du bouddhisme japonais et ce, depuis près de 1 000 ans. De nombreux sanctuaires s'y dressent, beaucoup classés au patrimoine mondial de l'Unesco. Le site en lui-même ne manque pas d'attraits : le complexe religieux est niché au cœur de la forêt, entouré d'immense cryptomères. La plus belle pièce de cet ensemble est le temple Togoshu : la complexité de son architecture et la richesse de ses ornements en font un des édifices religieux les plus impressionnants du pays.

minshuku,

Au plus proche des populations locales, vous pourrez vous imprégner de leur culture et de leur façon de vivre.

région du lac Chuzenji-ko,

vous offrant de sublimes paysages avec le mont Nantai comme fond de décor. Vous pourrez également admirer la cascade Kegon et les chutes Ryuzu no taki. Appréciez aussi cette étonnante forêt et son air vivifiant !

marché aux poissons de la ville, le plus grand du monde :

C'est vers ce lieu que convergent toutes les pêches de la nuit. Des milliers d'espèces de poissons reposent sur les étals des marchands et s'offrent à la gourmandise des visiteurs. Sur place, des restaurants tels que le Daiwa sushi permettent également de déguster ces produits frais.

zone.

Akihabara est l'un des quartiers les plus dynamiques de Tokyo, l'un des plus modernes aussi. Les boutiques high-tech sont nombreuses ainsi que les librairies consacrées à la littérature manga.

Ginza,

Les boutiques de mode vous ouvriront leurs portes tandis que le bâtiment Sony vous réserve un show-room dans lequel essayer les toutes dernières nouveautés technologiques.

Kamakura

Aujourd'hui station balnéaire, Kamakura fut pendant plus d'un siècle l'un des centres de décision du shogunat japonais. Si son importance politique est moindre aujourd'hui, la ville conserve les vestiges de son âge d'or. Ainsi, le temple Engaku-ji, l'un des hauts lieux de la spiritualité du pays et qui dressent ses façades dans un cadre magnifique mêlant végétation luxuriante et cours d'eau vivifiants.
De même, 17 des bâtiments datant de l'époque du shogunat peuvent encore être admirés dans ses rues. Le temple de Hachiman-Gu en est un des plus beaux exemples : bâti en 1063 sur les rives de la mer, il a été déplacé vers l'intérieur des terres en 1191. Voué à la divinité de la guerre, Hachiman est encore aujourd'hui l'un des temples les plus importants du shintoïsme insulaire .

Daibutsu,

Elle date du XIIIe siècle et mesure 13 mètres de haut. Parmi les sculptures les plus impressionnantes du pays et du bouddhisme, elle impose de par sa stature. Adoptant la position du lotus, dominant les fidèles et les visiteurs, elle incite à la méditation et au recueillement.